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C'EST DANS L'AIR

Cycle soixante : elle(s)
Après plus d'un mois d'un souffle nécessaire, pour respirer et s'inspirer, le retour des notes et des mots se fait à pas de loup, en douceur et discrétion. Et en honneur, encore, toujours, aux femmes. entre éphémère et éternité.
Prisonnière (2019), cover piano-voix
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Elle, elle souffre d'un amour exquis et profond. Elle passe en une fraction de seconde de l'espoir à la mélancolie. C'est Stephan Eicher qui chante cette femme à la confiance aveugle et à l'enthousiasme inachevé. Simple, touchant, et longtemps de moi inconnu.
Je l'aime à mourir (1979), cover piano-voix
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Elle, sans être jamais nommée, elle se dévoile, dans ses multiples facettes, tout au long d'une chanson de Cabrel que l'on a toutes et tous un jour fredonnée. Et qui incarne une sorte de classique d'un romantisme intemporel et, espérons, jamais désuet.  
Pourquoi faut-il se dire adieu (1968), cover piano-voix
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Elle, à peine croisée et immédiatement attirante, on ne peut se résoudre à la laisser partir. Cette femme, profondément signifiante, chantée par Polnareff avec des accords et un texte sublime de banalité et qui contient la promesse d'un été sans septembre.

Nuages et coucher de soleil

MORCEAUX D'AVANT

Quelques coups de coeur, au fil des semaines

Cycle 59 L'espoirB. Lavilliers
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